ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Avant d’accoucher dans la plus grande maternité du Pérou, María Alvarez a fermé les yeux et a fait une demande à travers son masque facial.⁣⁣ «Où est mon mari?» Dit-elle. «Je veux que mon mari vienne.»⁣⁣ Mais le père du bébé, Marco Martínez, était mort un mois auparavant du nouveau coronavirus.⁣⁣ María, qui avait un cas asymptomatique du virus, a donné naissance à son premier enfant, une fille, à 24 ans dans un service spécial pour mères atteintes de COVID-19.⁣⁣ L’Institut national périnatal et maternel du Pérou a consacré environ la moitié de ses installations aux soins des femmes enceintes infectées. Entre avril et début août, plus de 2 000 patientes infectées y ont accouché, dont 120 nouveau-nés positifs.⁣⁣ Selon une étude publiée par les autorités sanitaires en juillet une personne sur quatre, dans la capitale péruvienne de 10 millions de personnes, pourrait être infectée par le coronavirus. Sur 32 millions de personnes à travers le pays, plus de 483 000 serait infectées et plus de 21 000 mortes. Malgré le port d'un équipement de protection individuelle et la prise d'autres mesures pour éviter l'infection, 400 des 2 000 travailleurs de l'institut ont également été infectés, a déclaré son directeur, Enrique Guevara.⁣⁣ -⁣⁣ 1 : Maria Alvarez, 24 ans, lors de son accouchement dans une salle spéciale pour mères infectées par le COVID-19, à l'Institut national périnatal et maternel, à Lima, Pérou, le mercredi 29 juillet.⁣⁣ 2 : Un néonatologiste examine le nouveau-né dans une zone isolée réservée aux mères infectées par le COVID-19.⁣⁣ 3 : Une photo de Maria Alvarez avec son défunt mari Marco Martinez décédé du COVID-19 en juin. Photos : Rodrigo Abd (@abdrodrigo) / AP Photo (@apnews)⁣⁣ -⁣⁣ #international #peru #accouchement #covid-19 #hopital」8月14日 20時09分