ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「France, Kenya, Inde, Suède, Corée du Sud, Allemagne ou Burkina Faso. La précarité menstruelle est un phénomène qui dit la difficulté que rencontrent de nombreuses femmes pour se procurer des protections hygiéniques. Dès 2015 des collectifs féministes, ont alerté sur la « taxe tampon » et obtenu que le taux de TVA sur ces produits soit abaissé de 20 % à 5,5 %. Les règles restent un sujet dont on parle peu dans la sphère publique. Or, mettre des mots sur un tabou permet de réduire les risques, potentiellement dévastateurs, liés à l’ignorance et aux fantasmes. - 1 : Prisca Pkan, bénévole de l’association Agir Pour la Santé Des Femmes,distribuer pendant une maraude de l'eau et des lingettes à une femme SDF, à Paris, le 27 juin. Julie Balagué (@juliebalague) #PourleMonde 2 : Une couturière travaillant dans l'unité de production de Palobdé, une serviette hygiénique réutilisable en faso dan fani, un pagne tissé burkinabé. Sophie Garcia #PourleMonde 3 : Une femme fabrique une serviette hygiénique durant une démonstration dans l’atelier de Chaya Kakade, le 13 juin. Karen Dias (@diastopia) #PourleMonde 4 : Hilary, 27 ans, à Londres, au Royaume-Uni, utilise une serviette hygiénique lavable. « C’est important pour moi d’utiliser des materiaux naturels parce que c’est plus confortable et plus écologique. J’ai de la chance, je suis privilégiée de pouvoir penser à mon confort lorsque j’ai mes règles. » Wateraid (@Wateraid) / Billy Barraclough 5 : Lepera Joyce, 23 ans, montre la jupe en peau de chèvre qu’elle utilise quand elle a ses règles, dans la région du Karamoja, en Ouganda. « Les serviettes hygiéniques sont trop chères. Dès que ma jupe est usée, j’en fais une nouvelle, car nous avons beaucoup de chèvres. C’est ma grand-mère qui m’a appris à la faire et utiliser cette méthode pendant mes règles. » Wateraid / James Kiyimba - #RèglesNonDites」7月2日 3時01分