Au Brésil, la campagne électorale pour les scrutins des 7 et 28 octobre se déroule sur fond de violence, devenue la grave préoccupation des Brésiliens. La guerre des gangs, l’insécurité croissante, la crise sociale et la corruption des partis politiques ont favorisé la popularité des méthodes dures prônées par les militaires et l’extrême droite. Depuis l’explosion de cette guerre des gangs, les balles fusent. C’est une bataille sans merci, où celui qui n’est pas un « frère » est un « ennemi », abattu de sang-froid. Ces affrontements ont propulsé l’Etat du Rio Grande do Norte en tête des Etats les plus violents du Brésil. Selon l’annuaire brésilien de la sécurité publique, 2 386 personnes y ont été victimes de mort violente en 2017, un record dans ce pays où l’on tue toutes les dix minutes – des jeunes en majorité, noirs ou métis pour la plupart. 1/5 Les habitants du quartier Nossa Senhora da Apresentação observent le cadavre d’un homma fraichement abattu. 2/5 Les policiers analysent la scène du crime du père Heleno Fernandes do Nascimento, 47 ans, et de son fils Jailson Fernandes, 19 ans, dans le quartier Nossa Senhora da Apresentação, le plus violent de la ville. 3/5 La ville de Natal, capitale de l’État de Rio Grande do Norte, a été la ville brésilienne la plus violente en 2017 avec environ 102 homicides pour 100 000 habitants, selon l’ONG mexicaine Seguridad. 4/5 Comme la plupart des habitants de Natal, cet homme, dans le quartier de Nazaré, possède une arme de calibre 38 en dépit de la loi. 5/5 La prison Alcaçuz promet d’être un pénitencier « modèle ». Les prisonniers, incités à se convertir à la religion évangélique, doivent en repartir avec un emploi. Photo : @victormoriyama #PourLeMonde #Bresil #Election #Riogrande @viloence

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ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 10月1日 02時36分


Au Brésil, la campagne électorale pour les scrutins des 7 et 28 octobre se déroule sur fond de violence, devenue la grave préoccupation des Brésiliens. La guerre des gangs, l’insécurité croissante, la crise sociale et la corruption des partis politiques ont favorisé la popularité des méthodes dures prônées par les militaires et l’extrême droite. Depuis l’explosion de cette guerre des gangs, les balles fusent. C’est une bataille sans merci, où celui qui n’est pas un « frère » est un « ennemi », abattu de sang-froid.

Ces affrontements ont propulsé l’Etat du Rio Grande do Norte en tête des Etats les plus violents du Brésil. Selon l’annuaire brésilien de la sécurité publique, 2 386 personnes y ont été victimes de mort violente en 2017, un record dans ce pays où l’on tue toutes les dix minutes – des jeunes en majorité, noirs ou métis pour la plupart.

1/5 Les habitants du quartier Nossa Senhora da Apresentação observent le cadavre d’un homma fraichement abattu.

2/5 Les policiers analysent la scène du crime du père Heleno Fernandes do Nascimento, 47 ans, et de son fils Jailson Fernandes, 19 ans, dans le quartier Nossa Senhora da Apresentação, le plus violent de la ville.

3/5 La ville de Natal, capitale de l’État de Rio Grande do Norte, a été la ville brésilienne la plus violente en 2017 avec environ 102 homicides pour 100 000 habitants, selon l’ONG mexicaine Seguridad.

4/5 Comme la plupart des habitants de Natal, cet homme, dans le quartier de Nazaré, possède une arme de calibre 38 en dépit de la loi.

5/5 La prison Alcaçuz promet d’être un pénitencier « modèle ». Les prisonniers, incités à se convertir à la religion évangélique, doivent en repartir avec un emploi.

Photo : @victormoriyama #PourLeMonde

#Bresil #Election #Riogrande @viloence


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2018/10/1

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